Le site www.raspouteam.org recense les 20 céramiques dispersées dans la ville sur lesquelles ont été collés les fameux codes QR (pour Quick Response). Chaque point est pour cela géolocalisé.

Code QR disposé sur le pas de porte ou l'étudiant Malik Oussekine fut frappé à mort par un groupe de policiers voltigeurs en 1986.

Cette expérience de réalité augmentée ambitionne selon ses auteurs de proposer « un panorama des désordres qui ont agité Paris à différentes époques ; la Commune, l’Exposition Coloniale, Mai 68… ». Une manière d’inscrire en quelque sorte ces évènements dans la mémoire urbaine.